NOTELE, télévision communautaire de Wallonie Picarde est une institution dans le paysage audiovisuel local. Les émissions culturelles, politiques, culinaires et sportives, pour ne citer que celles-là, composent une grille horaire très conséquente. Depuis ses débuts, LCOW a toujours suivi et mis en valeur le cyclisme qu’elle diffusait. Quand nous avons la capacité de valoriser des liens, des images, des vidéos produits par NOTELE, nous ne nous en privons pas. Nous avons d’ailleurs sollicité plusieurs accords concernant des copies (photos, … ) et nous les avons obtenus. Nous remercions grandement Mr Gael LEBRUN, rédacteur en chef des sports sur NOTELE, de montrer du respect pour notre « travail ». Notez qu’il est originaire d’Ollignies. (Lessines) Il est donc lessinois depuis quelques années. BISCOTOS n’est plus. SPORT² (lire au carré) est une nouvelle émission dont « la première » date de la fin du mois d’août. A n’en pas douter, vous avez déjà pu apprécier ce décor, ce générique et toutes les nouvelles touches apportées au concept. De même que les reportages cyclistes. Nous n’avions pas encore abordé le sujet. Et comment le faire de la meilleure manière ? C’est en posant quelques questions à Mr LEBRUN. Celui-ci a été réceptif et n’a pas tardé. Il a répondu avec franchise et clarté. Ses réponses vont vous aider à mieux comprendre comment il faut desservir un territoire aussi vaste que le nôtre. Pas évident. Merci encore à Mr LEBRUN et à toute son équipe pour ce qu’ils font pour le sport en général. Longue vie à SPORT².
1) Nous regardons beaucoup NOTELE et annonçons dans nos pages quand il y a du vélo. Cette année, il semble (sentiment personnel) qu’il y en a eu moins que de coutume. Avez-vous recentré vos émissions sur d’autres sports comme le TRIATHLON, par exemple ?
d’Oeudeghien et au portrait de nos coureurs évoluant chez color-code. Dans notre émission « Au cœur du sport », nous avons aussi accueilli des garçons comme Jimmy Duquennoy, Fréderic Amorison et Julien Mortier. Comme vous le constatez, le cyclisme n’est pas été oublié. Autre explication plausible pour expliquer la diminution de notre couverture des courses : n’y en a-t-il tout simplement pas moins qu’avant ?
