Photo. Le podium final des élites.
La messe fut vite dite chez les dames. KOPECKI et DHORRE étaient les plus impressionnantes. Elles faisaient ce qu’elles voulaient. Même si les écarts n’ont jamais été faramineux. Au sprint, KOPECKI n’était pas certaine de l’avoir remporté. Finalement, ce fut bien le cas. De grandes disparités existent entre les dames. Quand vous pensez que certaines reviennent du Tour d’Italie féminin et que les autres n’ont pas nécessairement eu la possibilité de prendre du rythme. Mais à année exceptionnelle, course tout de même.
