Photo. Pas le plus petit car les deux frères roulent manifestement en compétition depuis cette saison. Image au « SAMYN 2020 ». Maximilien PICOUX.
En parlant de « PETIT », nous parlons bien entendu de Maximilien. Même si Ludo nous a informé que son jeune frère avait pris une licence au « CC CHEVIGNY ». Nous verrons cela plus tard. En l’état, Maximilien a bien repris. Deux places vers les « 30 » durant le week-end d’ouverture des épreuves flamandes (entraînements), c’est top. Preuve s’il en est qu’il a gardé le sérieux du pro et que ses sorties ont été bien adaptées. Maintenant, s’il a (enfin) deux minutes à nous consacrer pour nous dire deux mots sur ses ambitions, nous en serions heureux. Une vedette ne se mesure pas qu’à ses résultats mais aussi à son sens de l’empathie qu’il a pour ses supporters. Pour nous, Michel, Régis, Max, … c’est une succession logique de générations qui ont l’amour du vélo. Il est normal qu’une famille originaire de Bois-de-Lessines, qui est depuis des décennies dans le cyclisme, soit sous les projecteurs.
N.B : Etant donné qu’il y a moins de courses, nous donnons quelques anecdotes personnelles. Ce qui n’était pas prévu au départ. Michel, le grand-père de Max, s’entraînait avec nous dans les années 1980. Christian BATSELIER et quelques autres faisaient de l’intervalle training sur Bois-de-Lessines. C’est Michel qui avait imaginé un tour de 3 kms fait de relances et d’une côte pour bien nous mettre en condition. Après 40 ou 50 bornes, il retournait à Lessines frais comme une rose alors que nous et les potes, c’était le divan qui nous attendait. Il y a de ces anecdotes qui valent leur pesant d’or.